Dans l’Albanie de la fin des années 1970, Olta voit son quotidien bousculé par la disparition soudaine et inexplicable de son père. Chacune à sa manière, la fillette et sa mère Veronika affrontent le mystère de cette absence. Veronika, femme aussi belle que peu sûre d’elle, échafaude mille scénarios d’adultères.
SIGNATURE le 2 JUIN 2018 à partir de 18h, à la librairie "Les Cahiers de Colette" 23/25, rue Rambuteau 75004 Paris. Tél. : 01 42 72 95 06.
Le Salon du Livre des Balkans est de retour !
Au programme : tables-rondes et cartes blanches, hommages, projection d’un film roumain, des rencontres, des prix, une expo-photos et surtout des auteurs, des traducteurs et des éditeurs...
La Maison d’Europe et d’Orient, en partenariat avec Eurodram et le 100 ECS 100, rue de Charenton, 75012 Paris, présente une soirée lecture de la pièce « Vol au-dessus du théâtre du Kosovo » de Jeton Neziraj. Avec Franck Lacroix, Barnabé Perrotey, Salomé Richez, Christophe Sigognault et Federico Uguccioni.
Contact 06 03 91 00 84 - p.a.f. 3 / 5 €. Lecture suivie d’une rencontre.
Roman incontournable pour qui aime les auteurs des Balkans, "La ligne de fuite" d’Eqerem BASHA vient de paraitre chez Non Lieu Éditions qui le présente au salon du livre de Paris, du 16 au 19 mars 2018.
Il offre un éclairage époustouflant sur les injustices, les aberrations et la réalité agressive du monde qui entoure le personnage principale. Ce texte vient à la connaissance des lecteurs francophones dans une traduction de Sébastien Gricourt qui connait l’auteur depuis de nombreuses années et a travaillé sur plusieurs de ses ouvrages.
Pour la première fois dans sa vie, peut-être, Bala commence à apprécier d’avoir du temps. Ce temps qui coule quelque part, à l’extérieur de lui. Comme le Ruisseau blanc. Sans s’arrêter un seul instant. Sans s’arrêter ni revenir sur ses pas. Jusqu’à hier encore, il ne s’en souciait pas. Ou s’il s’en était souvenu, c’était exceptionnel. Tout comme pour ce qui lui est extérieur.
Tandis que maintenant il doit agir. Il doit se dépêcher. Se dépêcher tant qu’il a encore un œil qui voit. Même s’il ne lui en reste qu’un. Demain, il sera peut-être trop tard.
Dans l’emblématique librairie Maupetit (Actes Sud) de la Canebière à Marseille, un roman policier, réalité-fiction a attiré la curiosité du libraire. Il peut inspirer plus largement toutes celles et ceux qui aiment le genre policier et l’Histoire de l’Albanie...
Les assassins de la route du Nord est paru sous la plume Anila Wilms traduit de l’allemand par Carole Fily, chez Actes Sud, Actes noirs, le 7 février 2018.
Safet Kryemadhi porte à la connaissance des lecteurs francophones un récit du terrifiant massacre de Khardiq par Ali Pacha de Tepelena, écrit par Eugène Sue en 1839.
Cette nouvelle, régulièrement reprise au XIX e siècle dans différents recueils de ses oeuvres n’a plus été éditée depuis 1904. Accompagné d’une postface écrite par Safet Kryemadhi, l’ouvrage vient d’être publié par l’éditeur Ovadia.
Depuis plusieurs années, Olimpia GARGANO présente régulièrement les résultats de ses recherches universitaires sur l’image de l’Albanie dans la littérature européenne.
Avec l’œuvre de Prosper Mérimée et son influence sur un conte albanais de Mary Shelley, la chercheuse explore le rôle de la littérature française en tant que pont entre les cultures albanaise et slave ; l’auteur français ayant largement contribué à la diffusion de sujets albanais dans cette littérature par le biais de son ouvrage : La Guzla.
Le premier roman d’Emmanuelle Favier, "Le courage qu’il faut aux rivières", publié aux éditions Albin Michel, s’inspire de la tradition des vierges jurées dans le nord de l’Albanie sans pour autant jamais nommer ce pays.
Pleine de sensualité, l’intrigue est bâtie autour de trois personnages féminins. L’auteure offre aux lecteurs une fiction énigmatique sur l’ambiguïté des sexes, un texte d’initiation destiné à se construire ou s’émanciper de son passé. Plus qu’un roman, on peut y voir un conte initiatique.
Une écrivaine aux mille et une facettes...
Première auteure à être invitée par l’équipe d’universitaires de la Sorbonne Nouvelle-Paris 3 qui publie la revue : "Littérature 21", Ornela Vorpsi s’est prêtée au jeu des questions-réponses lors d’une rencontre qui réunissait universitaires et chercheurs autour de la question du cadre narratif pour aborder l’indicible ou l’illisible dans la littérature.
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