Plus de cinq siècles après avoir fui les Balkans sous la pression ottomane, les populations albanaises de Basilicate et de Calabre, les Arbëresh, se souviennent encore de leur pays d’origine. Pas seulement dans leur patronyme, San Paolo Albanese, San Constantino Albanese, Vaccarizzo Albanese, Santa Caterina Albanese, San Cosmo Albanese...
On y parle encore un dialecte albanais. Leur religion est toujours l’orthodoxie, même si elle a été rattachée à Rome.
Les médias français sont de plus en plus nombreux à se faire l’écho de l’Albanie comme une nouvelle destination touristique "en vogue".
Deux amies françaises sont parties à la découverte de ce pays. Probablement ont-elles choisi la meilleure période de l’année pour cette première visite, dans la lumineuse clémence de la fin d’été. Et ce séjour, même court -quatre jours bien remplis- a permis à ce pays mal connu de leur révéler ses charmes et -osons le dire-, de les séduire.
Vantés par les touristes, les charmes de l’Albanie, ses sites touristiques, archéologiques, sa gastronomie, l’hospitalité de la population et, disons-le aussi, les prix raisonnables d’un séjour ne laissent pas indifférents les passionnés de voyages et de découvertes, à la recherche d’autres destinations.
Pendant ce bref périple au départ de Sarajevo, on est vite persuadé que l’Albanie est en plein essor et que ses efforts pour développer son infrastructure routière et son tourisme commencent à porter leurs fruits et les touristes étrangers affluent.
Dans la majestueuse région de Kelmendi, au nord de l’Albanie, le village de Lëpush accueille de plus en plus de visiteurs : Albanais et étrangers, amoureux de la nature, sportifs passionnés par la montagne, la faune, la flore... ou bien citadins séduits par le calme et la pureté de l’air de la vallée...
Photos : Eleni Laperi©2012
Patrimoine sans frontières (PSF) a publié un dossier thématique sur le devenir du patrimoine moderne albanais et plus spécifiquement sur l’héritage datant de l’époque communiste à travers le cas de la prison de Spaç.
Réalisé par Romain Bijeard, avec l’aide de Mirian Bllaci du bureau du Cultural Heritage without Borders de Tirana, il est disponible dans sa totalité auprès de PSF.
Ce livre n’est ni un guide de voyage, ni un livre d’Histoire. Il vous invite simplement à être une sixième personne, aux côtés de la petite famille de l’auteur, pour revivre ce mois d’août 2012 passé sous les soleils de l’ex-Yougoslavie et de l’Albanie.
Ce récit est agrémenté par près de 375 photos et 5 des 16 chapitres sont consacrés à l’Albanie avec au programme : Korça, Gjirokaster, Butrint et Saranda puis Tirana, dernière étape de ce voyage avant le retour en France.
La journée de débats et tables rondes organisée par l’association Patrimoine sans frontières, en partenariat avec l’association étudiante Mnémosis, vise à questionner la notion de transmission mémorielle grâce à un dialogue entre la théorie et certaines pratiques de la société civile.
La journée-débats aura lieu le 21 ou 28 novembre 2015 de 10h à 17h à Paris (date et lieu à confirmer). Toutes les propositions de communication devront nous parvenir avant le 10 juillet 2015 à l’adresse suivante : romain.bijeardATpatrimsf.org La réponse vous sera transmise au plus tard le 15 septembre 2015, après l’évaluation des membres du Comité scientifique.
De 2009 à 2010, Patrimoine sans frontières a mené un chantier de restauration de l’église du Saint-Sauveur à Prizren au Kosovo.
La publication d’un ouvrage numérique sur cette église s’inscrit pour l’association PSF dans une démarche de sensibilisation et de valorisation destinée à tous les publics pour contribuer à la transmission des valeurs de respect et de compréhension mutuels propres aux patrimoines partagés.
PSF et le bureau au Kosovo de CHwB souhaitent attirer l’attention sur l’état du patrimoine urbain de Prishtina qui, s’il venait à disparaître, entraînerait avec lui tout un pan de son histoire. La capitale du Kosovo jouit d’un patrimoine architectural riche, témoin des époques historiques qu’a connues la ville. Mais les vagues de destructions urbaines qui l’ont affectées, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, ont profondément altérées son visage.
©CHwB.
Patrimoine sans frontières (PSF) dénonce les atteintes irréversibles faites à la petite église de Valsh, au sud d’Elbasan (environ 60 km de Tirana). Ses peintures murales, datant du XVIe siècle, et vraisemblablement de la main du plus célèbre peintre d’icônes albanais, Onufri, ont été vandalisées début janvier.
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