En réaction contre les traditions de l’académisme et portée par une quête spirituelle, Isadora Duncan prôna une danse "naturelle", drapée dans une tunique grecque et les pieds nus. Elle ouvrit plusieurs écoles en Europe et obtint partout un succès considérable.
Peu de gens le savent mais, après la mort tragique de ses enfants noyés dans la Seine, elle avait rejoint à Corfou son frère qui se dévouait auprès d’enfants démunis dans les Balkans. Elle résida alors quelques mois, sur la rive Ionienne de l’Albanie où elle s’éprit du pays et de ses gens en retrouvant à nouveau un élan de vie après le drame qu’elle avait vécu.
Lundi 5 juillet 2010, à partir de 14H30. Entrée libre.
Maison des Associations du 7ème arrondissement
93, rue Saint Dominique – 75007 Paris
Métro : La Tour-Maubourg ou Invalides
Bus : 28, 63, 69
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Lecture d’une sélection de textes écrits par Isadora Duncan
Un auditoire féminin très attentif à la Maison des associations du 7ème arrondissement
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